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Nous vous tiendrons au courant – trois fois par année, brièvement (seulement en allemand).

Prix climatique Zurich 2014

, , | 27 novembre 2014

Zurich Suisse a lancé le Prix climatique Suisse & Liechtenstein pour la deuxième fois en 2014. Sont primés les projets qui apportent une contribution efficace à la réduction des émissions de CO2, améliorent l'efficacité de l'énergie et de l'utilisation des ressources ou conduisent à des changements de comportement. Le Prix climatique Zurich se concentre sur trois secteurs: construction et logement, production et consommation, transport et mobilité. Cette année, la commune de Hohentannen remporte le prix climatique Zurich Suisse & Liechtenstein pour son projet "GemeindePOWER".INFRAS a accompagné Zurich lors de la conception et du déroulement du Prix climatique. Pour tout complément d'information, veuillez consulter le site web klimapreis.zurich.ch.

Projet

Étude d'impact SEE : dépôts en couche géologique profonde

, , , | 18 novembre 2014

Les dépôts en couche géologique profonde (resp. leurs installations en surface) ont des effets sur l'économie, l'environnement et la société du site d'implantation. Il s'agit d'identifier ces effets à un stade aussi précoce et selon des critères aussi objectifs que possible. Depuis 2011, l'Office fédéral de l'énergie (OFEN) a donc chargé INFRAS et les bureaux d'études Rütter Soceco et Ecosens d'effectuer une étude d'impact socio-économique et écologique pour chacune des régions potentielles. Le rapport final est à présent terminé. Il contient les conclusions suivantes :Économie : plus les secteurs de la construction, du génie civil, de la métallurgie et de l'usinage sont présents dans une région, plus la création de valeur et d'emplois ainsi que les recettes fiscales qui découlent de la construction d'un dépôt en couche géologique profonde seront importants. La construction d'un tel dépôt risque d'avoir des retombées plus négatives sur les régions qui comptent une part relativement élevée de secteurs sensibles (tourisme, agriculture).Environnement : les installations en surface ont un impact particulièrement élevé sur la consommation de surfaces, les surfaces d'assolement, le matériel d'excavation et les corridors à faune. Ils n'ont que peu ou pas d'effet sur les réserves naturelles et les zones de protection des eaux souterraines : les sites qui en contiennent ont d'emblée été exclues lors de la recherche de sites potentiels. Société : plus une région est densément peuplée, plus la croissance visée du milieu bâti est grande ; plus l'installation en surface est visible, plus les sites sont évalués négativement. Inversement, l'évaluation est moins négative si le site compte déjà des entreprises industrielles et artisanales. Toutes les documents: www.bfe.admin.ch/soew

Projet

Le coût de l'utilisation des pesticides en Suisse - compte pilote

, , | 19 mai 2014

Sur le mandat des organisations écologiques Greenpeace, Pro Natura, SVS/Birdlife Suisse et WWF INFRAS a calculé les coûts externes des pesticides en Suisse en cadre d'un compte pilote. L'étude se concentre sur trois domaines de coûts et estime les atteintes à la santé, la dégradation des écosystèmes et la réglementation. Le compte pilote effectué montre que le coût provoqué par les recours aux pesticides se monte à un ordre de grandeur de 50 à 100 millions de francs. Ces coûts sont importants et atteignent le même ordre de grandeur comme les dépenses de l'agriculture suisse pour des produits phytosanitaires et des produits de lutte contre les nuisibles. Tous les domaines de coûts sont entachés d'une marge d'erreur considérable. La documentation des atteintes aux écosystèmes, notamment, est incomplète du fait d'une quantification provisoire.Les coûts avérés de l'utilisation de pesticides en Suisse représentent des coûts externes, qui ne sont pas directement payés par ceux qui les occasionnent, mais qui sont majoritairement pris en charge par la collectivité. Selon une approche qui relève de l'économie du bien-être, ces coûts devraient être imputés à ceux qui les provoquent.

Projet

Evaluation des mesures spéciales de la CTI contre le franc fort

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KEYSTONE/Martin Ruetschi

Face à la force du franc, la Confédération a décidé en octobre 2011 un important train de mesures auxiliaires, dont un montant spécial de 100 millions de francs destinés a soutenir la promotion de l’innovation de la CTI. INFRAS et le Centre de recherches conjoncturelles de l’EPF Zurich (KOF) ont évalué la mise en oeuvre et les effets de ces mesures spéciales de la CTI. L’évaluation montre que ces mesures spéciales ont largement atteint les entreprises visées, orientées vers l’exportation, et qu’elles ont été efficaces. Elles ont mené a aider les entreprises à maintenir leurs projets d’innovation malgré la pression accrue sur les marges ou à accélérer leur commercialisation.

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